segunda-feira, 29 de novembro de 2010

Frio e neve



Vista da varanda do meu quarto

Está a nevar agora. Amanhã de manhã, a "minha" rua poderá estar assim.

domingo, 28 de novembro de 2010

Sonhar



"(...) Eles não sabem, nem sonham,
que o sonho comanda a vida,
que sempre que um homem sonha
o mundo pula e avança
como bola colorida
entre as mãos de uma criança."
 
No dia em que deixar de sonhar deixo de existir

sábado, 27 de novembro de 2010

sexta-feira, 26 de novembro de 2010

Comentário anónimo

photo tirée d'internet
Alguem espalhou por aqui uns quantos escritos deste tipo sobre a República. O cobarde não se identificou! 

quarta-feira, 24 de novembro de 2010

Nobre povo


Heróis do mar, nobre Povo,

Nação valente, imortal,
Levantai hoje de novo
O esplendor de Portugal!

7%


"Les failles de l'économie portugaise

(...) les observateurs de la zone euro ont tourné les yeux vers le Sud. Le Portugal est désigné comme le successeur le plus probable de l'Eire dans la liste des bénéficiaires d'un plan de soutien européen. Ses faiblesses sont pourtant bien différentes de celles qui ont mis le Tigre celtique à terre. Le Portugal est victime d'une mauvaise gestion des comptes publics et d'une croissance en berne, une situation qui se rapproche plutôt du cas grec.

UNE ÉCONOMIE QUI MANQUE DE DYNAMISME

Comme l'explique Céline Antonin, économiste à l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE), le Portugal et la Grèce "ont en commun d'importants problèmes structurels datant d'avant la crise : un fort endettement des ménages – le taux d'épargne au Portugal est le deuxième plus faible de la zone euro après la Grèce –, une baisse de compétitivité, une stagnation de la consommation intérieure..." A ces difficultés s'ajoutent, pour le Portugal en particulier, une croissance qui n'a jamais décollé : 1,3 % par an entre 2000 et 2008, contre 3,9 % pour la Grèce et 5 % pour l'Irlande.

Contrairement à l'Irlande, qui a su attirer des industries de haute technologie avec des moyens contestés – une fiscalité sur les entreprises très basse, parfois considérée comme de la concurrence déloyale –, l'économie portugaise repose sur des secteurs peu porteurs. Son industrie textile, notamment, a beaucoup souffert de la concurrence asiatique. Le Portugal a vu ses exportations chuter au cours des années, ce qui a pesé sur sa croissance et sur les efforts faits pour assainir ses finances publiques. Point positif : son secteur bancaire n'est pas en difficulté.

Le pays, accusé comme la Grèce d'avoir trop dépensé ces dernières années pour soutenir sa consommation intérieure, a fait preuve, sous la pression de l'Europe, de bonne volonté dans les années 2000 pour réduire son déficit. Mais ses efforts ont été handicapés par une croissance faible, et le déficit portugais reste à un niveau très élevé, à 7,3 % du PIB en 2010.

DES COMPTES PUBLICS DANS LE ROUGE

Lorsque la crise est arrivée, le Portugal avait peu de marge de manœuvre. "Beaucoup de pays ont mis en place des politiques de relance. Au Portugal, la relance a été tardive et limitée, car il était difficile de creuser davantage la dette," explique Céline Antonin. Le PIB a reculé de 2,5 % en 2009, plombant encore la situation budgétaire du pays.

Le gouvernement du socialiste José Socrates s'est engagé à ramener le déficit à 4,6 % du PIB l'an prochain, et ne ménage pas ses efforts pour rassurer les marchés. Il a décidé début septembre des mesures de rigueur drastiques, qui devraient être définitivement approuvées lors du vote du budget, vendredi 26 novembre.

L'attitude des autorités portugaises est vue par ses partenaires comme un point positif pour le pays. "Le Portugal ne montre pas de laxisme budgétaire, il y a au moins des signes de bonne volonté, explique Céline Antonin. L'objectif [de la rigueur] est à plus long terme, à l'horizon 2013. Mais ces mesures restrictives auront un prix pour la population..."

L'AUSTÉRITÉ SANS CERTITUDE

Hausse de deux points de la TVA à 23 %, gel des retraites, baisse des salaires des fonctionnaires, plafonnement des aides sociales... Les mesures devraient provoquer dans un premier temps, selon le gouvernement portugais, un ralentissement de la croissance l'an prochain à 0,2 % et une hausse du chômage prévue à 10,8 %

Malheureusement pour le gouvernement, qui s'est aliéné une grande partie de la population, il n'est pas certain que ces mesures impopulaires atteignent leur objectif : rassurer les marchés et éviter un destin à l'irlandaise. "Personne ne prend de telles décisions de gaieté de cœur", a répété ces dernières semaines le chef du gouvernement. Mais, a-t-il insisté, "c'est la seule façon de protéger le pays contre la turbulence des marchés financiers".

"Sur le coup on pensait que ça rassurerait les marchés, mais ça n'a pas vraiment fonctionné, constate l'économiste de l'OFCE. "Quand on regarde les taux obligataires, on n'est pas très loin des taux irlandais." Le Portugal espérait que l'annonce officielle, dimanche, du plan de sauvetage à Dublin allait lui offrir un peu de répit, en rassurant les marchés sur d'éventuels risques de contagion. La tendance observée en début de semaine était plutôt pessimiste à cet égard : le taux d'intérêt à 10 ans pour les bons du Trésor portugais a grimpé lundi malgré l'accord de l'Irlande, et a encore augmenté mercredi, dépassant les 7 %.

Mercredi, les Portugais se sont massivement mobilisés à l'appel des syndicats pour protester contre l'austérité, mais José Socrates, à la tête d'un gouvernement socialiste minoritaire, a annoncé qu'il ne céderait pas. Espérant ne pas connaître le même sort que son homologue irlandais, qui fait les frais du plan de sauvegarde, le premier ministre a réaffirmé mardi que "le budget qui va être approuvé vendredi défend l'emploi et l'économie"".

Marion Solletty

segunda-feira, 22 de novembro de 2010

Miguel Torga



"De seguro,
Posso apenas dizer que havia um muro
E que foi contra ele que arremeti
A vida inteira.
Não. Nunca o contornei.
Nunca tentei
Ultrapassá-lo de qualquer maneira.
A honra era lutar
Sem esperança de vencer.
E lutei ferozmente noite e dia,
Apesar de saber
Que quanto mais lutava mais perdia
E mais funda sentia
A dor de me perder."
"O Muro" de Miguel Torga 

Ler, ouvir e ver no Diario de Bordo de António

domingo, 21 de novembro de 2010

Plus humain


photo tirée du site Koreus.com 

Pour la première fois, un pape admet l'utilisation du préservatif que le Vatican conspuait jusque-là. (...) Benoît XVI reconnait l'utilité du préservatif, "dans certains cas" afin de "réduire les risques de contamination" du virus du sida. "Cela peut quand même être un premier pas pour ouvrir la voie à une sexualité plus humaine, vécue autrement" (...). LEMONDE.FR avec AFP 

quinta-feira, 18 de novembro de 2010

quarta-feira, 17 de novembro de 2010

Património



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Le "repas gastronomique des Français" a été inscrit au patrimoine immatériel de l'humanité.
 Felizmente também se come com os olhos...
*photos internet

sábado, 13 de novembro de 2010

Aung San Suu Kyi

Símbolo da luta pela democracia na Birmânia, Aung San Suu Kyi foi este sábado, depois de  passar nos últimos vinte anos mais de quinze em prisão domiciliaria, posta em liberdade. Prémio Nobel da Paz, Aung San Suu Kyi, mulher extraordinária, colocou nos cabelos uma flor que lhe foi lançada pela multidão que a aclamava,  disse  "Devemos trabalhar juntos".
Sigamos o seu exemplo.

quinta-feira, 11 de novembro de 2010

Investir dans notre jeunesse

 Saturne (dieu romain associé à Cronos), dévorant un de ses enfants.
Simon Hurtrelle, 1699, Le Louvre

"Une société qui, tel Cronos, dévore ses enfants est une société qui se meurt. Terra Nova appelle à une "révolution copernicienne" des politiques publiques, au profit d'une stratégie d'investissement social qui concentre les moyens publics sur les jeunes générations.

Ces dernières semaines, la France a découvert, stupéfaite, sa jeunesse dans la rue. Certains s’en sont offusqués : comment peut-elle se préoccuper d’une réforme des retraites qui ne la concernera pas avant un demi-siècle ? Ils passent à côté de l’essentiel : le sentiment de mal-être général de notre jeunesse face à une société bloquée qui la maltraite.
Ce sentiment est justifié. Son déclassement est brutal. La jeunesse était, il y a trente ans, intégrée, active, prospère. Elle est devenue la figure de l’exclusion dans notre société moderne (...). Que s’est-il passé ? Disons-le sans détour : depuis trente ans, face à la crise, les jeunes sont la variable d’ajustement d’une société d’insiders qui protège ses acquis au détriment des nouveaux entrants. Toutes les grandes politiques publiques – éducation, logement, politique sociale, politique fiscale – discriminent les jeunes générations. Si nous voulons redonner un avenir à notre société, il y a urgence à effacer ces inégalités intergénérationnelles, que nous avons créées. (...)"

Este excelente artigo de Guillaume Allègre e Olivier Ferrand, que merece ser lido na íntegra, foi publicado no "Le Monde" de 8/11/2010.

quarta-feira, 10 de novembro de 2010

Esprit de Justice

foto copiada do L'Express.fr


"Il s’appelle Mauricio Lopes Lima. Son nom évoque les années noires du Brésil, celle de la dictature militaire au cours de laquelle des centaines de Brésiliens ont trouvé la mort, tandis que des milliers d’autres ont été détenus ou torturés entre 1964 et 1985. Aux côtés de trois autres co-accusés, cet ancien capitaine doit aujourd’hui répondre des crimes commis pendant sa participation à l’opération Bandeirante, la campagne de répression contre les dissidents menée par l’armée entre 1969 et 1970, et en particulier d’actes de torture commis à l’encontre de Dilma Rousseff, la présidente récemment élue du Brésil.
Arrêtée en 1970 par la police militaire après trois ans de lutte clandestine au sein d’un groupe de résistance étudiante, Dilma Rousseff a passé trois ans dans la prison de Tiradentes, où elle a été systématiquement battue, soumise à des décharges électriques et obligée de rester pendant des heures sur le “perchoir du perroquet”, une position douloureuse dans laquelle le prisonnier, les poignets liés aux chevilles, est suspendu à une barre au-dessus du sol.
Ne pouvant être rendu pénalement responsable de ses activités passées, Lima est poursuivi au civil par le parquet fédéral de l’Etat de Sao Paulo qui réclame le retrait de sa pension militaire ainsi que des dommages et intérêts pour les victimes de ses crimes présumés. En effet, la Cour suprême brésilienne a récemment confirmé la loi d’amnistie de 1979 pour les crimes commis par des civils et des militaires pendant la dictature. C’est grâce à cette loi que Carlos Alberto Brilhante Ustra, ancien commandant de l’unité DOI-CODI, la police secrète brésilienne, en charge des opérations de répression de 1970 à 1985, a été exempté de peine de prison après avoir été déclaré coupable de torture en octobre 2008.

Vingt-cinq ans après le retour de la démocratie, la “Lei da Anistia” continue de susciter la polémique au sein de la société brésilienne. Promulguée pendant la dictature et exigée à l’époque par des milliers de manifestants, elle avait constitué une étape importante dans la transition du Brésil vers un régime démocratique. Elle octroyait l’amnistie à la fois aux militaires et à leurs opposants, permettant le retour au Brésil des exilés et la libération des prisonniers politiques mais protégeant aussi les tortionnaires à l’œuvre pendant le régime militaire.
Les familles des défunts et des disparus, ainsi que les survivants de la torture, réclament aujourd’hui sa révision et le jugement des responsables, à l’instar des procédures entamées en Argentine - qui a abrogé ses lois d’amnistie en 2005 - et plus récemment en Uruguay. Il y quelques jours en effet, la Cour suprême uruguayenne a déclaré anticonstitutionnelle l’application de la loi d’amnistie à une vingtaine d’affaires dans lesquelles est impliqué l’ancien dictateur Juan Maria Bordaberry."
in "Le Monde - Le blog de Isabelle Tallec"

Espírito de Justiça!

terça-feira, 9 de novembro de 2010

Maybe Tuesday...

FOME


"Sintra, onde se vive uma das situações mais problemáticas do país (Leia aqui as declarações de Fernando Seara , ou no texto relacionado mais abaixo), está no entanto longe de ser caso único. Um pouco por todo o país, cada vez mais crianças chegam à escola com fome e é de estômago vazio que tentam aprender. Pouco ou nada comeram de manhã. Pouco ou nada jantaram na noite anterior. Sentam-se irrequietas, estão desconcentradas e algumas queixam-se de dores de barriga. Há alterações de comportamento associadas à fome que os professores já aprenderam a detetar e que garantem serem mais notórias este ano letivo. Com a crise, os estabelecimentos de ensino desdobram-se em soluções para o problema. As escolas são cada vez mais instituições de solidariedade social"...

Que vergonha meu Deus! Como é possível deixar chegar a miséria a este extremo?

segunda-feira, 8 de novembro de 2010

Afonso


"Afonso Couto não resistiu às complicações de saúde que teve nas últimas semanas e acabou por nos deixar no dia 3 deste mês. Todavia, durante este último ano o Afonso, em bicos de pés nos seus 7 anos, ensinou muito a muitos de nós e ficará marcado nos nossos corações para sempre. Ensinou-nos a sermos fortes e a lutarmos até ao fim, ensinou-nos a sermos mais solidários e a unirmo-nos por uma causa. O Afonso vive agora em cada um de nós!"

‎"O Afonso lutou muito mas a sua luta foi também uma luta pela vida dos outros. Portugal é hoje o 4º pais com maior número de dadores de medula óssea. Muito disso se deve a ele e a Vocês todos. O Afonso não perdeu esta luta, GANHOU-A!!! Nós vamos continuá-la. É isso que ele quer que façamos. Temos de alargar as campanhas e ser ainda mais... solidários. Por todos os que precisam de um dador! Pelo Afonso!"

‎"Foi esta a mensagem que o Afonso nos deixou. Compete-nos continuar. Nesta hora difícil, peço-Vos que não gastem mais lágrimas ou flores. Partam sim para a acção: Se cada um de nós convidar 3 novos amigos para se inscreverem como doadores de medula óssea, esse número quadruplicará. Essa será a verdadeira homenagem que podemos fazer ao Afonso."
Carlos Macedo e Couto (avô do Afonso)
 
Conhecemos a família Bragança em Macau nos anos cinquenta. A Isabel Bragança, avó do Afonso, foi minha colega no colégio e preparamos juntas, com o mesmo Mestre, a admissão a Arquitectura. A Isabel terminou com grande êxito o curso e voltou para Macau onde vive e trabalha como arquitecta. Quando voltei a Macau, em Novembro de 2006, vi a Isabel mãe e avó feliz. Sinto muito a perda do Afonso.


sexta-feira, 5 de novembro de 2010

Contradição?




Este portugal podia ser visto em Lisboa até 4 de Novembro...
"Portugal surge em 40.º lugar no ranking do Índice de Desenvolvimento Humano, subindo um lugar no relatório de 2010 das Nações Unidas que avalia o bem-estar das populações de 169 países.
Nesta avaliação anual do Programa das Nações Unidas para o Desenvolvimento (PNUD), os países são divididos em quatro grupos em termos de desenvolvimento humano: muito elevado, elevado, médio e baixo. Os portugueses surgem no primeiro grupo, composto por 42 países, mas..."
As vezes apetece-me ser mázinha.

quinta-feira, 4 de novembro de 2010

Doces

Nesta época, faziam-se doces, compotas e marmelada na casa da Lapa. Ficou-me o cheiro mas sobretudo  a saudade. A minha prima "Carocha" é a única pessoa na familia que mantem a tradição. E tudo isto me vem à memória ao ler as receitas "Du nez au palais".