(…) "l’électorat italien, en donnant plus de 50 % des sièges sénatoriaux à deux bouffons, dont l’un est un artiste et l’autre un dépravé sexuel malhonnête, a envoyé un message dangereux. Nous sommes arrivés au stade où les politiciens italiens ont tellement perdu leur crédibilité que la commedia dell'arte est préférée à la gestion de l’Etat.
Devrons-nous rappeler à nos amis transalpins la fable de La Cigale et la Fourmi, chère à Jean de la Fontaine ? Comment un peuple qui a eu le destin de l’Europe entre ses mains dans l’Antiquité, et donne des artistes, des écrivains et des penseurs parmi les plus exceptionnels de l’Europe, a-t-il pu exprimer un tel vote de dégoût. Ce n’est même plus du populisme, c’est un rejet qui contient les ferments d’une évolution qui n’exclut pas l’insurrection".(…) In « Démystifier la finance », blog de Georges Hugeux – Le Monde
terça-feira, 26 de fevereiro de 2013
Tragedia dell'arte
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