"Epicé à souhait", o blogue "Langue sauce piquante", revela a autoria dos NDLC, que pontuavam alguns dos artigos do "Libération" dos anos 70 e princípios de 80. Aos que, como eu, devoravam o "Libé" nos tempos áureos de Serge July, desejo boa leitura !
"Il faut avoir vécu les rutilantes années septante pour connaître ce sigle tout en consonnes : NDLC. C'était la "note de la claviste" du quotidienLibération première manière. Libé, créé en 1973 par des gauchistes dans la foulée de Mai 68, avait des pratiques non orthodoxes et assez sympathiques, comme le salaire unique pour tous les employés, direction comprise, et donc cette fameuse NDLC.
Les "clavistes", le plus souvent des femmes, assuraient la saisie de la copie manuscrite ou tapée à la machine à écrire fournie par les journalistes. L'une d'entre elles avait pris l'habitude de ponctuer les articles de courts commentaires bien sentis placés entre crochets typographiques et signés donc de ce sigle. Ces notes étaient devenues mythiques, et bien sûr ont disparu avec la nouvelle formule du quotidien lancée en 1981 (si notre mémoire est bonne), ainsi que l'égalité salariale. C'était en quelque sorte la deuxième mort de Mai 68" (...).
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