quinta-feira, 27 de outubro de 2011

sábado, 22 de outubro de 2011

Il est temps qu'il(s) s'en aille(nt)

photo de l'Express 
"Les Européens entre eux à propos de Sarkozy: « Tu me dis les méchancetés qu’il a dites sur moi, ou c’est moi qui commence? »
On ne s'attaque pas officiellement au président de la République française. Mais le comportement de Nicolas Sarkozy amuse ou exaspère, selon les cas, les chefs d'Etat et de gouvernement européens. "Lorsque nous nous téléphonons entre dirigeants européens et que nous en venons à parler de Nicolas Sarkozy, nous nous disons: "Tu me dis les méchancetés qu'il a dites sur moi, ou c'est moi qui commence?"", raconte un membre du conseil européen, qui s'agace du ton sirupeux du président dans les contacts directs, et de ses commentaires acerbes quand il appelle les uns et les autres. Nicolas Sarkozy a répété partout une anecdote vacharde sur Angela Merkel pendant leurs déjeuners communs: "Elle dit qu'elle est au régime...et se ressert de fromage"
 
Nicolas Sarkozy s'est fait une spécialité d'agresser verbalement un de ses collègues pour s'imposer. Ce fut très fréquemment le cas du premier ministre luxembourgeois Jean-Claude Juncker, du président de la banque centrale européenne Jean-Claude Trichet ou de la commissaire Viviane Redding, qui avait dénoncé la politique française contre les Roms. Le président n'a plus que mépris pour Jose Manuel Barroso, qu'il a pourtant fait reconduire à la tête de la Commission. Mais il a aussi ses chouchous, ceux qu'il bichonne et ne pipent mot: le président du conseil européen Herman Van Rompuy.
 
Les dirigeants finissent par savoir réagir. Jean-Claude Trichet réplique au président. Il l'a fait de nouveau mercredi, à la réunion de Francfort, en s'exprimant en français avec Nicolas Sarkozy ce qui est rarissime.
 
Le ton de Jean-Claude Trichet, président sortant de la banque centrale européenne, surprend aussi les Européens. Face aux dirigeants européens, il devient au fil des mois véhément, alors que l'Europe s'enfonce dans la crise. Avec son accent français, il invoque en anglais les Chinois et les Singapouriens qui jugent les Européens totalement en deçà de leurs responsabilités. Pas les banquiers centraux, mais les chefs d'Etat et de gouvernement. Le ton de M. Trichet affaiblit son propos, selon un participant de ces réunions de crise européennes. A côté de lui se tient désormais son successeur, l'italien Mario Draghi, qui observe un  silence prudent.
 
La victime attendue de samedi soir est le président du conseil italien Silvio Berlusconi, qui doit présenter des mesures d'économies et de réformes. Il aura droit à une réunion-mise-au-point en petit comité, en présence de Nicolas Sarkozy et d'Angela Merkel.  L'idée est de l'inciter à suivre l'exemple de Jose Luis Zapatero, le premier ministre espagnol qui n'a pas hésité à sacrifier son avenir électoral à l'autel des réformes. Il sera présent à la réunion.
 
L'affichage du couple Merkel-Sarkozy agace les autres pays. L'expérience de la Slovaquie, qui a failli ne pas ratifier le plan de sauvetage grec, a montré qu'il fallait tenir compte des 17 membres de la zone euro. Surtout, leur entente est jugée factice: "Ils se parlent mais ne se comprennent pas. Ils chuchotent. Mais les chuchotements entre deux sourds n'ont jamais donné de résultat", accuse l'un".
 
Arnaud Leparmentier et Philippe Ricard in LEMONDE.FR

segunda-feira, 17 de outubro de 2011

O meu país















Mark Rothko  (1903-1970)

"L'heure est maintenant au rassemblement"

"Je tiens à saluer chaleureusement la victoire de François Hollande. Ce soir, il est notre candidat à la présidentielle 2012" a déclaré [Martine Aubry] la maire de Lille peu après 20 h 30.
"L'heure est maintenant au rassemblement", a-t-elle dit évoquant "l'équipe de France du changement qui tournera la page de dix ans de droite et de sarkozysme". Elle a indiqué n'avoir eu, depuis qu'elle est à la tête du parti socialiste, "qu'un seul objectif", que "l'un d'entre nous soit élu en 2012". "François Hollande est notre candidat, les primaires l'ont rendu plus fort encore. Je mettrai toute mon énergie et toute ma force pour qu'il soit dans sept mois notre prochain président de la République" a-t-elle déclaré."  LEMONDE.FR

sexta-feira, 14 de outubro de 2011

Le prix -trop fort- à payer


"C'est un budget extrêmement austère pour 2012 (...)
(...) Parmi les mesures annoncées par le premier ministre, Pedro Passos Coelho, la suppression temporaire des 13e et 14e mois pour les fonctionnaires et les retraités dont les revenus sont supérieurs à 1 000 euros (...) la hausse des taux intermédiaires de TVA et des "réductions substantielles des budgets de la santé et de l'éducation"(...)
"Nous devons faire plus, beaucoup plus que ce qui était initialement prévu", a reconnu le premier ministre, estimant que le Portugal vit actuellement "un moment d'urgence nationale". L'année prochaine "le processus d'ajustement devra être plus profond et comprendre des mesures plus exigeantes", a-t-il encore prévenu (...). 
LEMONDE.FR avec AFP 

quinta-feira, 13 de outubro de 2011

versos...


que pena não saber fazer versos
esta casa merece um poema
a pena, em tempos adversos
é só pra poetas de gema

a poesia não é o meu forte
ando às voltas com o português
dou a pena, pra nossa sorte
à minha amiga ERA UMA VEZ

segunda-feira, 10 de outubro de 2011

sábado, 8 de outubro de 2011

Estrelas cadentes


O que mais se tem visto nos últimos tempos são "estrelas" a caírem com mais ou menos estrondo, mas, hoje estas estrelas vêem mesmo do céu!
"Les astronomes s'attendent à deux pics : le premier aura lieu très précisément à 19 h 09, heure de Paris, et le deuxième à 21 h 57. Le premier passage visible des étoiles filantes pourrait être perturbé par le crépuscule, mais le deuxième, sauf nuages, devrait être parfaitement visible. En tout, le phénomène durera jusqu'à 23 heures". LEMONDE.FR avec AFP

La femme qui pleure

La femme qui pleure - Pablo Picasso - 1937

"un seul reproche..." neste sabado triste foi ler isto.

Nobel de la Paix - La femme africaine à l'honneur

 Ellen Johnson Sirleaf


Leymah Gbowee


Tawakkul Karman

"Le prix Nobel de la paix 2011 a été conjointement attribué, vendredi 7 octobre, à trois femmes : Ellen Johnson Sirleaf, présidente du Liberia, Leymah Gbowee, elle aussi libérienne, et à la Yéménite Tawakkul Karman pour leur lutte non violente pour la sécurité et les droits des femmes" (...).

Em tempo: Estou admirada com a falta de relevo nos media e na blogosfera em geral dado às três laureadas deste ano. Mas há, felizmente, excepções.

segunda-feira, 3 de outubro de 2011

Ameaças ou provocação ?


foto e texto do "Diário de Noticias"


"PSP e secretas esperam maiores tumultos desde PREC

Polícia e SIS já têm elementos no terreno para antecipar as acções de grupos organizados que podem criar grande agitação social.
A agitação social deve crescer e pode atingir proporções nunca vistas nos últimos 30 anos. A previsão é de um grupo de comandantes da PSP, feita num relatório confidencial a que o DN teve acesso. O descontentamento popular com a crise económica faz a polícia e os serviços secretos temerem actos violentos. Por isso, já têm agentes a identificar grupos e protagonistas da contestação."
O DN anda a fazer o jogo de quem com este título "racoleur"?

domingo, 2 de outubro de 2011

sábado, 1 de outubro de 2011

"La Nuit Blanche", 10 ans après

"Rendez-vous culturel de la rentrée, Nuit Blanche 2011 s’annonce à nouveau comme un grand moment de partage, de découvertes et de rencontres uniques, sous le signe de l’exigence, de l’émerveillement et du plaisir de la découverte."
O ano passado "ma nuit blanche" começou "pop" na Gulbenkian e acabou nos "quais", junto ao Musée de l'Art moderne, em festa eslava, com salmão fumado, blinis e vodka, na mais antiga "cantine" russa de Paris. Este ano veremos onde acaba...:)

28°C, sol, sol e sol!

Paris hoje, 1° de Outubro
Em tempo: Lisboa hoje, 30°C, quente, muito quente...

“My country right or wrong"


"(...) Portugal acabou por ser uma surpresa para o mundo: desde logo, pelo modo muito próprio como havia feito a sua Revolução e, em especial, como dela saiu para a democracia e desta para a integração europeia. Aos olhos externos, o nosso país conseguiu, com uma insuspeitada facilidade, instalar e aculturar um regime democrático que se provou funcional e, sem se afastar da sua herança africana, soube simultaneamente voltar-se, com uma quase naturalidade, para um projecto integrador a que só remotamente estivera ligado, embora já partilhasse a cultura de mercado que lhe estava na génese.
(....) Neste ponto, alguns poderão estar a pensar: mas, afinal, Portugal tem uma cultura antiga, tem uma História, teve momentos gloriosos na sua muito longa existência como país. Ora isso deve fazer parte, com certeza, do seu reconhecimento exterior. 
Receio ter de dizer isto, mas um erro muito comum no imaginário português é o de pensar que o mundo continua a lembrar Portugal pela glória das Descobertas, pelo período áureo de “quinhentos”. O facto de termos hiperbolizado, dentro de Portugal, e em especial durante o Estado Novo, essas imagens de grandeza não significa necessariamente que o mundo ainda seja obrigado a medir-nos à luz delas. Sei que não faz bem à nossa auto-estima lembrar isto, mas temos de assumir que essas glórias, embora constitutivas da nossa identidade como nação, são já longínquas no tempo. 
Outros já terão notado que, depois de Sagres, passámos por um declínio muito grande como país, com o lento desfazer da aventura imperial, com quebras drásticas no nosso poder económico e com a consequente perda de importância da nossa afirmação política à escala global. Até o facto de não termos sabido descolonizar a tempo nos agravou uma imagem de perdedores na História, só atenuada pelo contraponto positivo das liberdades que o 25 de Abril, se seguida, nos trouxe. Goste-se ou não, a História que verdadeiramente conta, para a fixação da imagem dos países, é a História contemporânea ou, pelo menos, a versão contemporânea da História. E, nesse retrato, a nossa imagem não é globalmente positiva" (...).
Enxertos da magistral intervenção (que deve ser lida aqui) do Embaixador Francisco Seixas da Costa na conferência “Economia portuguesa: economia com futuro”, Lisboa, 30 de Setembro de 2011.